




















Quiet moment
Un homme seul, assis dans la nuit, entouré de silence et de douceur.
La lumière, timide et chaude découpe à peine la ligne de ses épaules, caresse le bois du banc, révèle des fragments de ponton, le reste est ombre, lente, profonde, presque vivante.
C’est une scène paisible, hors du temps. Rien ne bouge, sinon peut être la pensée.
L’eau, invisible mais présente, dort quelque part sous les planches, tout contre les pilotis fatigués, on ne voit pas les étoiles, même si on sait qu’elles sont là.
On ne sait rien de cet homme, juste que ce moment lui appartient.
Il ne s’agit pas d’un isolement, mais d’un refuge, d’une solitude choisie, celle que l’on s’offre comme un abri intérieur.
Pas de foule, pas de rôle à jouer.. Un retour au calme, à l’essentiel, à ce que l’on est quand on ne joue plus à être autre chose.
Dans cette composition, je ne raconte pas une histoire, je chuchote une sensation.. pour vous apaiser et vous inviter à respirer avec lui.
Un homme seul, assis dans la nuit, entouré de silence et de douceur.
La lumière, timide et chaude découpe à peine la ligne de ses épaules, caresse le bois du banc, révèle des fragments de ponton, le reste est ombre, lente, profonde, presque vivante.
C’est une scène paisible, hors du temps. Rien ne bouge, sinon peut être la pensée.
L’eau, invisible mais présente, dort quelque part sous les planches, tout contre les pilotis fatigués, on ne voit pas les étoiles, même si on sait qu’elles sont là.
On ne sait rien de cet homme, juste que ce moment lui appartient.
Il ne s’agit pas d’un isolement, mais d’un refuge, d’une solitude choisie, celle que l’on s’offre comme un abri intérieur.
Pas de foule, pas de rôle à jouer.. Un retour au calme, à l’essentiel, à ce que l’on est quand on ne joue plus à être autre chose.
Dans cette composition, je ne raconte pas une histoire, je chuchote une sensation.. pour vous apaiser et vous inviter à respirer avec lui.
Un homme seul, assis dans la nuit, entouré de silence et de douceur.
La lumière, timide et chaude découpe à peine la ligne de ses épaules, caresse le bois du banc, révèle des fragments de ponton, le reste est ombre, lente, profonde, presque vivante.
C’est une scène paisible, hors du temps. Rien ne bouge, sinon peut être la pensée.
L’eau, invisible mais présente, dort quelque part sous les planches, tout contre les pilotis fatigués, on ne voit pas les étoiles, même si on sait qu’elles sont là.
On ne sait rien de cet homme, juste que ce moment lui appartient.
Il ne s’agit pas d’un isolement, mais d’un refuge, d’une solitude choisie, celle que l’on s’offre comme un abri intérieur.
Pas de foule, pas de rôle à jouer.. Un retour au calme, à l’essentiel, à ce que l’on est quand on ne joue plus à être autre chose.
Dans cette composition, je ne raconte pas une histoire, je chuchote une sensation.. pour vous apaiser et vous inviter à respirer avec lui.